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C'est une analogie pour expliquer le processus d'apprentissage et pour vous montrer pourquoi il est utile de s'exercer souvent.

analogie_chemin.jpg

Imaginez que votre capacité à jouer de la batterie est représentée par un chemin que vous allez devoir tracer vous-même, pour explorer une étendue sauvage et inconnue.

 

L'étendue sauvage   =   ce que vous ignorez.

Le chemin   =   ce que vous connaissez.

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Prenons n’importe quel exercice. Vous le travaillez une première fois : vous avez creusé un sillon en défrichant les herbes sauvages qui étaient devant vous.

 

Après votre séance de travail, vous prenez un repos bien mérité : une nuit de sommeil. Cette nuit de sommeil, ce sont des pavés que vous posez dans le sillon que vous avez tracé, pour empêcher les "herbes de l’ignorance" de repousser (nous avons vu que ce que vous apprenez, votre cerveau et votre corps le fixent pendant le sommeil).

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Le chemin se construit... C’est un bon début, mais quand vous l’empruntez le lendemain, les herbes hautes sont encore très proches et vous frôlent les bras et les jambes lorsque vous avancez.

 

C’est normal, votre chemin est encore très étroit. Trop étroit pour avancer de manière sécurisée.

 

Votre deuxième jour de répétition va vous permettre d’élargir ce sillon. Vous creusez alors un nouveau sillon de chaque côté de votre chemin pavé. La nuit qui suit : hop, une rangée de pavés supplémentaire de chaque côté pour assurer la pérennité de votre construction et circuler plus librement sur votre chemin de la maîtrise et de la connaissance.

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Un nouvel exercice  =  un nouvel embranchement et un autre chemin pour explorer cette étendue sauvage. Et ainsi de suite...

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